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Ong-Hhrd : 700 familles déplacées ou démunies prise en charge


L’ONG Helping Hand for Relief and Development (Ong-Hhrd), pour la 7ème année consécutive, vient de soulager 700 familles déplacées et démunies maliennes et centrafricaines pendant le mois de Ramadan. À la veille de cette vaste opération de don de vivres, la coordinatrice de l’Ong Hhrd, Fatoumatou Traoré, communément appelée Jamila, nous fait le point des activités en cours et des projets en vue.

Polyglotte et gestionnaire des ressources humaines, Fatoumatou Traoré, communément appelée Jamila, est la présidente de l’ONG MJTPCI et Coordinatrice de l’ONG Helping Hand for relief and development au Mali, depuis 7 ans.

« L’Ong-Hhrd a pour objectif le développement et l’entre-aide à travers le monde. Elle intervient en période de Ramadan en distribuant des vivres, au moment de la fête de Tabaski à travers la distribution de viande de bœufs aux nécessiteux », nous apprend la coordinatrice.

Au-delà des dons de vivres, l’Ong-Hhrd a commencé à faire des opérations gratuites de la cataracte, il y a deux ans de cela. Cette année, elle compte étendre son action avec l’augmentation de ses domaines d’intervention à travers le programme Water for life qui consisterait à la construction d’adductions d’eau potable, nous confie Jamila.

Selon Mme Traoré, pour l’opération du mois de Ramadan 2022, 700 familles déplacées ou démunies de Maliens et Centrafricains vivant au Mali sont ciblées. Il s’agit par ce geste de toucher 300 familles déplacées et démunies au Mali, 300 familles démunies centrafricaines réfugiées au Mali et 100 familles de personnes vivant avec un handicap au Mali. Ce qui a valu une mention spéciale de remerciement à l’Ong-Hhrd de la part de sa coordinatrice au Mali, Fatoumatou Traoré alias Jamila.

«Pour mieux faire face au combat de lutte contre la pauvreté, nous souhaiterions dans l’avenir construire un centre de formation professionnelle pour aider les jeunes femmes à apprendre la coiffure, la couture, la transformation de certaines matières premières et produits manufacturés avec une valeur ajoutée afin qu’elles puissent s’épanouir. Comme le dit un adage de chez nous,‘il vaut mieux apprendre à quelqu’un àpêcherque de lui apprendre à manger du poisson’», a-t-elle déclaré en termes de perspective.

Source : Le Reporter par Gabriel TIENOU

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