Les premiers Jeux de l’AES lancés à Bamako dans une ferveur fraternelle
- malikunafoninet
- 24 juin
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« À la fin de ces Jeux, il n’y aura ni vainqueur, ni vaincu. Le véritable gagnant, c’est le peuple de l’AES », a déclaré le président de la Délégation spéciale de Bamako, lors de la cérémonie d’ouverture.
C’est dans une ambiance à la fois solennelle et festive que le Palais des Sports de Bamako a accueilli, ce samedi 21 juin, la cérémonie d’ouverture des premiers Jeux de l’Alliance des États du Sahel (AES), en présence du Premier ministre malien, Abdoulaye Maïga, et des délégations officielles du Burkina Faso et du Niger.
Malgré un contexte sécuritaire et économique tendu, l’organisation de ces Jeux constitue un coup de maître salué de toutes parts. Au-delà du sport, l’événement se veut une vitrine de la solidarité et de la fraternité entre les peuples du Sahel.
Un moment fort a marqué l’ouverture : le serment des représentants sportifs des trois pays, appelant au respect des règles et à l’éthique du fair-play. Trois figures emblématiques ont été désignées ambassadeurs des Jeux : Daba Modibo Kéita, Iron Biby et Abdoul Razak Issoufou, incarnant l’excellence et la résilience sahélienne.
Dans son discours, le Premier ministre a vu dans ces Jeux « le début d’un nouveau chapitre pour l’AES », appelant à transformer cette dynamique sportive en socle d’un avenir commun.
Durant une semaine, les jeunes athlètes du Mali, du Burkina Faso et du Niger se mesureront dans six disciplines, dans un esprit d’unité et de dépassement. L’AES signe ici une nouvelle page de son histoire, portée par sa jeunesse.
Oura KANTÉ
Malikunafoni










































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