Tinkélé : un nouveau forage pour soulager plus de 800 habitants grâce aux œuvres sociales du Président Assimi GOÏTA
- malikunafoninet
- 29 mai
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Grâce aux œuvres sociales initiées par le Président de la Transition, le Général d’Armée Assimi GOÏTA, le village de Tinkélé, dans la commune de Ouélessébougou (région de Bougouni), bénéficie désormais d’un forage moderne. L’infrastructure, inaugurée le mardi 27 mai 2025, marque une avancée significative pour les habitants, longtemps confrontés au manque d’eau potable.
« Ce forage est une bénédiction. Plus de 800 personnes vont désormais avoir accès à l’eau potable », s’est réjoui M. Bembè Bagayoko, porte-parole du chef de village de Tinkélé, lors de la cérémonie d’inauguration. Pour les habitants, cet ouvrage est bien plus qu’un simple accès à l’eau : c’est un symbole d’attention et d’espoir renouvelé.
La cérémonie s’est déroulée en présence de M. Aguibou Dembélé, Conseiller spécial du Président de la Transition, accompagné d’une délégation composée de représentants de la Présidence et de la Direction nationale de l’Hydraulique. Il a précisé que chaque forage est conçu avec une capacité de 5 m³, équipé de panneaux solaires, d’une pompe immergée et de trois bornes-fontaines.
Le Maire de Ouélessébougou, M. Bakary Samaké, a salué cette nouvelle réalisation tout en rappelant les autres actions en cours : ambulances, denrées alimentaires et aides diverses pour les plus vulnérables. « Certes, tout le Mali est concerné, mais nous espérons voir ces efforts étendus à nos autres communes », a-t-il déclaré.
Mme Sali Samaké, porte-parole des femmes bénéficiaires, a également souligné l’impact de cette infrastructure sur le quotidien des femmes et des enfants, souvent contraints à parcourir de longues distances pour trouver de l’eau.
En conclusion, M. Dembélé a lancé un appel à l’unité et à la prière collective pour la paix au Mali et une victoire contre le terrorisme, rappelant que ces œuvres sociales s’inscrivent dans une vision inclusive et équitable, répondant aux besoins exprimés par les communautés elles-mêmes.
Par
Oura KANTÉ
Malikunafoni
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